J'ai fait ma première photographie en 1979, en même temps que mon mémoire de maîtrise d'histoire à l'Université de Chambéry: "Henri Cartier-Bresson, photographe du 20e siècle". Commence alors une série de photographies en villes, sur le vif, avec des appareils Leica (Réflex, R4, R6, objectif de 21, 35, 50, 90mm).
Dans les années 1990, sous l'influence de Jean-Claude Lemagny (Conservateur en chef du cabinet des Estampes et de la Photographie de la Bibliothèque Nationale de France), j'ai exploré d'autres possibilités des appareils Réflex: à savoir le flou et le bougé, à l'origine des paysages de mes montagnes du Jura, toujours en Noir et Blanc, plus rarement en couleurs.
J'ai ensuite quitté les montagnes du Jura pour l'Occitanie en 1999: la photographie m'a quitté aussi, submergé par les couleurs du Sud. Puis... retrouvé avec un appareil numérique en 2006, ce qui a prolongé mes expériences en couleurs. Des débuts expérimentaux maladroits, puis parfaitement assumés à partir de 2016, toujours avec des appareils réflex, mais haute définition (Canon cette fois).
A partir de 2023, j'utilise aussi des appareils Leica en ville (numérique, M10R et M11). La boucle est bouclée: paysage d'un côté (Réflex), sur le vif en villes (Leica). Avec un retour aux sources: le Noir et Blanc.
Depuis 2020,je consacre une partie de mon temps à scanner des centaines de négatifs, en haute définition: beaucoup d'entre eux n'avaient jamais été tirés, car dépassant les possibilités de la chambre noire et le temps dont je disposais.

J'ai pu exposer en: 1981 1983 1993 1998 2000 2008 2019 2021 2022 2023 2025  à Chambéry, Oyonnax, Bourg en Bresse, Uzès et Madrid ...

Participation aux journées de l'image photographique (Lyon, 1996), à la biennale d'art contemporain (Lyon, 1997), au Leica Tour (2025-26 à Paris, Bordeaux, Lille et Marseille).

Une quarantaine de photographies ont été tirées pour la collection de photographies contemporaines de la Bibliothèque Nationale de France (département des estampes et de la photographie) à la demande de son directeur de l'époque, Jean-Claude Lemagny.


Photographies en ville:

miroirs blessés   

Paysages:

Chemins qui ne mènent nulle part

D'après Schubert:

Voyages d'hiver

En milieu psychiatrique:

Dialogues avec la souffrance

Portraits et nus:

En Corps

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"Ce qui n'est pas visible n'est pas invisible"
Camille Sauvage